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E-auction 583-538543 - fme_659972 - LUIS FELIPE I Médaille, Louis Marie de Cormenin
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SIN GASTOS PARA LOS COMPRADORES.
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Valoración : | 120 € |
Precio : | 18 € |
Oferta más alta : | 35 € |
Fecha de fin de la venta : | 17 junio 2024 20:43:40 |
participantes : | 4 participantes |
Tipo : Médaille, Louis Marie de Cormenin
Fecha: 1842
Metal: cobre
Diámetro: 50,5 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Acuñador ROGAT Émile (1770-1852)
Peso: 78,33 g.
Canto: lisse + proue CUIVRE
Cuño: Proue (1842 - 1845)
Comentarios sobre el estado de conservación:
Patine marron avec quelques traces de manipulation dans les champs. Petite usure sur certains reliefs. La médaille est conservée dans une boîte en bois
Anverso
Titulatura del anverso: LOUIS MARIE - DE CORMENIN.
Descripción del anverso: Buste à gauche de Louis Marie de Cormenin, signé : E. ROGEAT 1842.
Reverso
Titulatura del reverso: ANÉPIGRAPHE.
Descripción del reverso: Statue d'un ange entourée d'un grand nombre de statues d'hommes célèbres ; derrière, le Panthéon ; dans le champ, signature E ROGAT..
Comentario
Louis Marie de Lahaye, baron (1818) puis vicomte (1826) de Cormenin, est un jurisconsulte, publiciste et homme politique français, né à Paris le 6 janvier 1788 et mort dans la même ville le 6 mai 1868.
Issu d'une ancienne famille de robe de la Bresse établie dans l'Orléanais depuis trois générations, Cormenin eut pour parrain et marraine le duc de Penthièvre et la princesse de Lamballe. Ses liens familiaux avec Versailles étaient multiples : son père avait été lieutenant général de l'Amirauté, et du côté de sa mère, Victoire Henriette Foacier, il descendait d'un frère du compositeur Delalande, de l'intendant général des Armées navales françaises et célèbre numismate Joseph Pellerin. Il était également le petit-fils du ministre Arnaud de Laporte, proche collaborateur de Louis XVI, mort sur l'échafaud révolutionnaire.
Il fit ses études dans un pensionnat de Paris puis à l'école de droit et fut reçu avocat en 1808. Il écrivit des vers dans le Mercure de France et l’Almanach des muses sous le Premier Empire. En janvier 1810, il fut nommé auditeur au Conseil d'État (section du contentieux). Il accompagna Cochon de Lapparent dans sa mission à la 20e division militaire (1813). Nommé maître des requêtes surnuméraire en 1814, il s'engagea à Lille comme volontaire pendant les Cent-Jours..
Issu d'une ancienne famille de robe de la Bresse établie dans l'Orléanais depuis trois générations, Cormenin eut pour parrain et marraine le duc de Penthièvre et la princesse de Lamballe. Ses liens familiaux avec Versailles étaient multiples : son père avait été lieutenant général de l'Amirauté, et du côté de sa mère, Victoire Henriette Foacier, il descendait d'un frère du compositeur Delalande, de l'intendant général des Armées navales françaises et célèbre numismate Joseph Pellerin. Il était également le petit-fils du ministre Arnaud de Laporte, proche collaborateur de Louis XVI, mort sur l'échafaud révolutionnaire.
Il fit ses études dans un pensionnat de Paris puis à l'école de droit et fut reçu avocat en 1808. Il écrivit des vers dans le Mercure de France et l’Almanach des muses sous le Premier Empire. En janvier 1810, il fut nommé auditeur au Conseil d'État (section du contentieux). Il accompagna Cochon de Lapparent dans sa mission à la 20e division militaire (1813). Nommé maître des requêtes surnuméraire en 1814, il s'engagea à Lille comme volontaire pendant les Cent-Jours..