fme_838800 - LOUIS XV DIT LE BIEN AIMÉ Médaille, Mariage de Louis XV, Rosières de Canon, Mézidon et Vieux Fumé, Le bon vieillard
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Tipo : Médaille, Mariage de Louis XV, Rosières de Canon, Mézidon et Vieux Fumé, Le bon vieillard
Fecha: (1725)
Metal: plata
Diámetro: 41,5 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Acuñador GATTEAUX Nicolas-Marie (1751-1832)
Peso: 30,70 g.
Canto: gravée : OMNIA VINCIT AMOR
Cuño: sans poinçon
Grado de rareza: R1
Comentarios sobre el estado de conservación:
Médaille ayant été nettoyée, des frottements dans les champs, au particulier au revers. usure régulière sur les hauts reliefs
N° en los catálogos de referencia :
Pedigrí:
Cette médaille provient de la collection Terisse
Anverso
Titulatura del anverso: DIGNUM LAUDE SENEM VETAT MORI // À L’EXERGUE : LE BON VIEILLARD.
Descripción del anverso: Vieillard appuyé sur une canne. Femme tenant un épis de blé devant lui. Signé : N. GATTEAUX.
Reverso
Titulatura del reverso: SEDANAE POPULORUM ANXIETATI
A L’EXERGUE : NUPTIAE REGIAE FONTIBELLAQUAEO M.DCCC.XXV..
Descripción del reverso: Le Roi et la Reine debout, se donnant la main vers l’autel. Le prélat lève la main pour les unir.
Traducción del reverso: Il faut calmer l’inquiétude des peuples.
Comentario
Ce type de médailles, appelé médailles de Vieux Fumé et Mézidon-Canon, a été émis comme médailles de récompense à l’occasion de l’élection annuelle dans certaines paroisses françaises, des meilleurs jeunes filles, mères ou pères de famille. Ces élections étaient appelées fêtes de rosières pour les jeunes filles. Elles subsistent encore de manière singulière dans quelques villages français, à Badecon le Pin par exemple, dans l’Indre. Feuardent, dans le tome II de Jetons et Méraux, attribue dix-huit numéros à ces jetons. Certains ont été détournés en jetons de mariage, ce que nous ne pouvons affirmer avec certitude pour cette exemplaire.
Il s’agit du même avers que le Feuardent n°6378 mais avec un revers qui diffère. Le revers est une reprise de la médaille de mariage de Louis XV en 1725 ce qui nous donne une date probable.
Il s’agit du même avers que le Feuardent n°6378 mais avec un revers qui diffère. Le revers est une reprise de la médaille de mariage de Louis XV en 1725 ce qui nous donne une date probable.