E-auction 547-473440 - fjt_828999 - CASINOS ET JEUX SERIE DE L’HOMBRE - DE CONSEIL DES DIEUX - IX n.d.
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SIN GASTOS PARA LOS COMPRADORES.
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Valoración : | 40 € |
Precio : | 11 € |
Oferta más alta : | 12 € |
Fecha de fin de la venta : | 09 octubre 2023 19:20:00 |
participantes : | 4 participantes |
Tipo : SERIE DE L’HOMBRE - DE CONSEIL DES DIEUX - IX
Fecha: n.d.
Nombre del taller / ciudad: s.l
Metal: cobre
Milésimas de pureza : 500 ‰
Diámetro: 33 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Peso: 10,85 g.
Canto: Lisse
Cuño: MAIN Cuivre
Grado de rareza: R1
Anverso
Reverso
Comentario
Le jeu de l’Hombre, d’origine espagnol « Hombre », (Homme
en français), a été joué en France durant la seconde moitié du
XVIIe et au début du XVIIIe siècle. Il a perdu, par la suite, de
sa faveur auprès des joueurs pour être remplacé par ses descendants le whist, puis le bridge. Il est probablement le premier jeu de levées à enchères connu de l’histoire des jeux de
cartes. Il continue à être joué avec des règles très proches dans
d’autres pays, sous le nom de tresillo en Espagne, l’Hombre au
Danemark, le Rocambor au Pérou et en Bolivie et le Tridge en
Angleterre.
Le jeu de l’Hombre est un jeu de commerce. Les tenanciers
d’académie de jeux de commerce percevaient un droit d’entrée sur leurs clients et un pourcentage sur les jeux de cartes
utilisés. Ce jeu se joue à 3 personnes. Il comporte un jeu classique de 52 cartes, auquel on retire préalablement les quatre
dix, les quatre neuf et les quatre huit. Chaque joueur reçoit
neuf cartes et dispose de 20 jetons et neuf fiches.
Cette série de jetons, destinée au jeu de « l’Hombre », comprenait 63 jetons différents gravés par Jérôme Roussel (1663-
1713), graveur contemporain du règne de Louis XIV, à qui
l’on doit de nombreuses médailles. Il est aussi l’auteur de
quelques jetons, avec le buste du roi Louis XIV et signés H.
R. F ou R.
Sur les 63 jetons gravés par J. Roussel, 60 jetons sont tirés des
Métamorphoses d’Ovide : les 20 premiers jetons concernent
le Livre I, les 20 autres jetons le Livre II et les 20 derniers, la
Livre III. Ces jetons ont été émis en bronze et en argent.
Ovide (Publius Ovidius Naso) est un poète latin, né à Sulmone en 43 avant J.C. et mort en exil à Tomis, sur le PontEuxin en 16 après J.C. Il appartenait à une famille de petite
noblesse, sans grande fortune. Il étudia à Rome, puis fit le
voyage d’Athènes, visita la Sicile, la Grèce, l’Asie Mineure, en
compagnie du poète Macer, son parent. De retour à Rome, il
débuta brillamment au barreau et occupa quelques charges
publiques. Mais le goût de la poésie l’emporta bientôt. À
20 ans, il était presque célèbre ; Virgile, Horace, Properce,
Gallus l’admiraient et l’encourageaient.
Ce n’est qu’arrivé à quarante ans qu’Ovide composa ses « Métamorphoses », son œuvre capitale. Les « Métamorphoses » est
un poème mythologique en quinze livres. Les fables les plus
disparates, au nombre de deux cent quarante-six, s’y succèdent, par des transitions très artificielles. Elles ont ceci de
commun qu’elles se rapportent toutes à la transformation
d’un être humain en pierre, en plante ou en animal. Ovide
voit surtout dans les « Métamorphoses » une riche matière, de
brillantes descriptions, des récits de toutes sortes. Le ton y est
varié. L’œuvre a du succès dés l’époque d’Ovide. Pour les auteurs du Moyen Age, elle représente un réservoir inépuisable
de citations et d’histoires. À la Renaissance, avec l’invention
de l’imprimerie, les éditions se succèdent. Depuis, au long des
siècles, « les Métamorphoses » continuent à inspirer poètes,
peintres et musiciens. Elles font partie du patrimoine culturel
de l’Europe. Un autre intérêt du livre est qu’il nous fournit,
au fil du récit, toutes sortes de renseignements sur la manière
de vivre des Anciens.
Les 58 jetons décrits dans cette étude sont en argent. De Ø
32mm, avec un poids variant de 11 à 12 grammes. .
en français), a été joué en France durant la seconde moitié du
XVIIe et au début du XVIIIe siècle. Il a perdu, par la suite, de
sa faveur auprès des joueurs pour être remplacé par ses descendants le whist, puis le bridge. Il est probablement le premier jeu de levées à enchères connu de l’histoire des jeux de
cartes. Il continue à être joué avec des règles très proches dans
d’autres pays, sous le nom de tresillo en Espagne, l’Hombre au
Danemark, le Rocambor au Pérou et en Bolivie et le Tridge en
Angleterre.
Le jeu de l’Hombre est un jeu de commerce. Les tenanciers
d’académie de jeux de commerce percevaient un droit d’entrée sur leurs clients et un pourcentage sur les jeux de cartes
utilisés. Ce jeu se joue à 3 personnes. Il comporte un jeu classique de 52 cartes, auquel on retire préalablement les quatre
dix, les quatre neuf et les quatre huit. Chaque joueur reçoit
neuf cartes et dispose de 20 jetons et neuf fiches.
Cette série de jetons, destinée au jeu de « l’Hombre », comprenait 63 jetons différents gravés par Jérôme Roussel (1663-
1713), graveur contemporain du règne de Louis XIV, à qui
l’on doit de nombreuses médailles. Il est aussi l’auteur de
quelques jetons, avec le buste du roi Louis XIV et signés H.
R. F ou R.
Sur les 63 jetons gravés par J. Roussel, 60 jetons sont tirés des
Métamorphoses d’Ovide : les 20 premiers jetons concernent
le Livre I, les 20 autres jetons le Livre II et les 20 derniers, la
Livre III. Ces jetons ont été émis en bronze et en argent.
Ovide (Publius Ovidius Naso) est un poète latin, né à Sulmone en 43 avant J.C. et mort en exil à Tomis, sur le PontEuxin en 16 après J.C. Il appartenait à une famille de petite
noblesse, sans grande fortune. Il étudia à Rome, puis fit le
voyage d’Athènes, visita la Sicile, la Grèce, l’Asie Mineure, en
compagnie du poète Macer, son parent. De retour à Rome, il
débuta brillamment au barreau et occupa quelques charges
publiques. Mais le goût de la poésie l’emporta bientôt. À
20 ans, il était presque célèbre ; Virgile, Horace, Properce,
Gallus l’admiraient et l’encourageaient.
Ce n’est qu’arrivé à quarante ans qu’Ovide composa ses « Métamorphoses », son œuvre capitale. Les « Métamorphoses » est
un poème mythologique en quinze livres. Les fables les plus
disparates, au nombre de deux cent quarante-six, s’y succèdent, par des transitions très artificielles. Elles ont ceci de
commun qu’elles se rapportent toutes à la transformation
d’un être humain en pierre, en plante ou en animal. Ovide
voit surtout dans les « Métamorphoses » une riche matière, de
brillantes descriptions, des récits de toutes sortes. Le ton y est
varié. L’œuvre a du succès dés l’époque d’Ovide. Pour les auteurs du Moyen Age, elle représente un réservoir inépuisable
de citations et d’histoires. À la Renaissance, avec l’invention
de l’imprimerie, les éditions se succèdent. Depuis, au long des
siècles, « les Métamorphoses » continuent à inspirer poètes,
peintres et musiciens. Elles font partie du patrimoine culturel
de l’Europe. Un autre intérêt du livre est qu’il nous fournit,
au fil du récit, toutes sortes de renseignements sur la manière
de vivre des Anciens.
Les 58 jetons décrits dans cette étude sont en argent. De Ø
32mm, avec un poids variant de 11 à 12 grammes. .