v23_0347 - AUGUSTO, CAYO y LUCIO Denier
MONNAIES 23 (2004)
Precio de inicio : 150.00 €
Valoración : 250.00 €
lote sin vender
Precio de inicio : 150.00 €
Valoración : 250.00 €
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Tipo : Denier
Fecha: 2 AC. - AD. 12
Nombre del taller / ciudad: Gaule, Lyon (Lugdunum)
Metal: plata
Milésimas de pureza : 900 ‰
Diámetro: 17,5 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Peso: 3,65 g.
Grado de rareza: R1
Comentarios sobre el estado de conservación:
Exemplaire sur un petit flan avec un très beau portrait. Flan un peu court sur les légendes. Très jolie patine de collection ancienne
N° en los catálogos de referencia :
Anverso
Titulatura del anverso: CAESAR AVGVSTVS - DIVI F PATER [PATRIAE].
Descripción del anverso: Tête laurée d'Auguste à droite (O*).
Traducción del anverso: “Cæsar Augustus Divi Filius Pater Patriæ”, (César Auguste fils du divin Jules, père de la patrie).
Reverso
Titulatura del reverso: C. L. CAESARES À L'EXERGUE/ AVGVSTI F COS DESIG PR[INC IVVENT].
Descripción del reverso: Caius et Lucius Césars debout de face, vêtus de la toge, tenant chacun un bouclier rond et une haste ; entre eux, lituus à gauche, le simpulum à droite ; une croisette au-dessous.
Traducción del reverso: "Caius et Lucius Cæsares/ Augusti filii consules designati Principes Iuventutis" (Caius et Lucius Césars, fils d'Auguste, consuls désignés, princes de la jeunesse).
Comentario
C’est l’un des deniers les plus courants de l’atelier de Lyon. Mais cette variété, avec la croisette entre les instruments pontificaux interversés, est beaucoup plus rare. C’est aussi l’une des pièces qui se rencontre le plus souvent en Gaule. C’est encore l’un des deniers qui ont été le plus imités aussi bien dans les limites de l’Empire qu’en dehors du limes. Le denier représentant les deux petits-fils d’Auguste eut un succès considérable en Gaule. Nous devons modifier notre vision de la circulation monétaire entre la fin de la guerre des Gaules et la mort de Néron en 68 après J.-C. Monnaies gauloises en argent, en bronze et en potin circulèrent conjointement avec les monnaies romaines qui se répandirent largement en dehors de la Narbonnaise. Il faut évoquer le néologisme de circulation “romano-gauloise” plutôt que gallo-romaine.