bpv_192763 - VESPASIANO Tétradrachme syro-phénicien
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Precio : 48.00 €
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Tipo : Tétradrachme syro-phénicien
Fecha: an 2
Nombre del taller / ciudad: Antioche, Syrie, Séleucie et Piérie
Metal: plata
Diámetro: 24 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Peso: 12,49 g.
Comentarios sobre el estado de conservación:
Flan étroit et épais comme toujours pour cette émission, faible usure de circulation mais fortes traces de corrosion tant au droit qu’au revers
N° en los catálogos de referencia :
Pedigrí:
Cet exemplaire est le 0112_013
Anverso
Descripción del anverso: Tête laurée de Vespasien à droite (O*).
Leyenda del anverso: AUTOKRAT KAISA OUESPASIANOU, (Autokratoros Kaisaros ouespasianou)
Traducción del anverso: (L'empereur césar Vespasien).
Reverso
Descripción del reverso: Aigle debout à gauche sur une massue, les ailes déployées.
Leyenda del reverso: ETOUS B IEROU (Etous b Ierou)
Traducción del reverso: (deuxième année sainte).
Comentario
Les monnaies du troisième groupe des frappes de Vespasien, caractérisées par un aigle à gauche sur une massue, sans couronne dans le bec, sont du style d’Alexandrie mais de la datation syrienne avec la lettre annuelle surmontée d’une barre. Les quantités frappées suivent les besoins : les frappes les plus massives sont celles de l’An 2, fin de la Guerre juive et elles se terminent en l’An 5 avec des quantités frappées décroissantes au fil des années.
Plusieurs graveurs participent à cette série où celui de notre exemplaire est très bien représenté. On doit remarquer que les pièces des groupes dits au style d’Alexandrie ont une caractéristique commune : l’aigle ne tient pas de couronne (groupes 1, 2 et 3) dans le bec. Ceci renforce l’idée que cette couronne était une distinction attribuée à la ville émettrice et que nous aurions affaire à un atelier militaire ou plus simplement à un atelier - quelque soit sa localisation - fourni en métal par le Trésor Militaire, sans lien organique avec une ville.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, quatre-vingt onze exemplaires sont maintenant répertoriés.
Plusieurs graveurs participent à cette série où celui de notre exemplaire est très bien représenté. On doit remarquer que les pièces des groupes dits au style d’Alexandrie ont une caractéristique commune : l’aigle ne tient pas de couronne (groupes 1, 2 et 3) dans le bec. Ceci renforce l’idée que cette couronne était une distinction attribuée à la ville émettrice et que nous aurions affaire à un atelier militaire ou plus simplement à un atelier - quelque soit sa localisation - fourni en métal par le Trésor Militaire, sans lien organique avec une ville.
Dans la base TSP maintenue par Michel Prieur, quatre-vingt onze exemplaires sont maintenant répertoriés.