fme_916602 - TERCERA REPUBLICA FRANCESA Plaque, Sadi Carnot
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Tipo : Plaque, Sadi Carnot
Fecha: n.d.
Metal: bronce
Diámetro: 219 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Peso: 877,07 g.
Canto: lisse
Cuño: sans poinçon
Comentarios sobre el estado de conservación:
Trou percé à 12 heures. Patine sombre hétérogène, presque noire, présentant quelques points d’usure
Anverso
Titulatura del anverso: ANÉPIGRAPHE.
Descripción del anverso: Buste habillé de Sadi Carnot à gauche.
Reverso
Titulatura del reverso: INCUS.
Comentario
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Sadi Carnot, né le 11 août 1837 à Limoges et mort le 25 juin 1894 à Lyon (3e arrondissement), de son nom complet Marie François Sadi Carnot, est un homme d'État français. Il fut président de la République du 3 décembre 1887 jusqu'à ce qu'il meure assassiné le 25 juin 1894.
Haut fonctionnaire de carrière, Sadi Carnot, avant de se faire élire à l'Élysée, avait assumé de nombreuses charges politiques et gouvernementales : député de la Côte-d'Or, préfet de la Seine-Inférieure, puis sous-secrétaire d'État aux Travaux, il fut nommé ministre des Travaux publics, puis des Finances.
Dans un contexte d'agitation syndicale et anarchiste, les lois restreignant les libertés individuelles et la presse venaient d'être votées, Sadi Carnot est l'une des cibles du mouvement anarchiste ayant refusé la grâce de Ravachol, d'Auguste Vaillant, auteur de l'attentat à la Chambre des députés et d'Émile Henry. Il est blessé d'un coup de poignard par l'anarchiste italien Sante Geronimo Caserio le 24 juin 1894, alors qu'il quittait, par une issue secondaire pour éviter la foule, un banquet organisé à la Chambre de commerce à l'occasion de l'exposition universelle, internationale et coloniale à Lyon. Le député Gaston Doumergue, futur président de la République, est témoin de la scène. Caserio est guillotiné le 16 août suivant pour le crime.
Le président de la République meurt des suites de ses blessures, peu après minuit, le 25 juin 1894.
Son assassinat fait adopter par la Chambre la dernière et la plus marquante des lois scélérates visant les anarchistes et leur interdisant tout type de communication. Elle a été abrogée en 1992. Il repose au Panthéon de Paris avec son grand-père Lazare Carnot.
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Sadi Carnot, né le 11 août 1837 à Limoges et mort le 25 juin 1894 à Lyon (3e arrondissement), de son nom complet Marie François Sadi Carnot, est un homme d'État français. Il fut président de la République du 3 décembre 1887 jusqu'à ce qu'il meure assassiné le 25 juin 1894.
Haut fonctionnaire de carrière, Sadi Carnot, avant de se faire élire à l'Élysée, avait assumé de nombreuses charges politiques et gouvernementales : député de la Côte-d'Or, préfet de la Seine-Inférieure, puis sous-secrétaire d'État aux Travaux, il fut nommé ministre des Travaux publics, puis des Finances.
Dans un contexte d'agitation syndicale et anarchiste, les lois restreignant les libertés individuelles et la presse venaient d'être votées, Sadi Carnot est l'une des cibles du mouvement anarchiste ayant refusé la grâce de Ravachol, d'Auguste Vaillant, auteur de l'attentat à la Chambre des députés et d'Émile Henry. Il est blessé d'un coup de poignard par l'anarchiste italien Sante Geronimo Caserio le 24 juin 1894, alors qu'il quittait, par une issue secondaire pour éviter la foule, un banquet organisé à la Chambre de commerce à l'occasion de l'exposition universelle, internationale et coloniale à Lyon. Le député Gaston Doumergue, futur président de la République, est témoin de la scène. Caserio est guillotiné le 16 août suivant pour le crime.
Le président de la République meurt des suites de ses blessures, peu après minuit, le 25 juin 1894.
Son assassinat fait adopter par la Chambre la dernière et la plus marquante des lois scélérates visant les anarchistes et leur interdisant tout type de communication. Elle a été abrogée en 1992. Il repose au Panthéon de Paris avec son grand-père Lazare Carnot.
Historial
TERCERA REPUBLICA FRANCESA
(09/04/1870-07/10/1940)
La noticia de la capitulación de Sedán provoca la revolución del 4 de septiembre de 1870 en París. Proclamada en el Hôtel de Ville, se dota a la República de un gobierno provisional denominado Gobierno de Defensa Nacional. Amenazado por la izquierda por la insurrección de la Comuna y por la derecha por los monárquicos, el nuevo régimen tuvo un comienzo difícil.. Inicialmente jefe del poder ejecutivo (febrero de 1871), Thiers se encargó de reorganizar el país antes de elegir su forma de gobierno.. Asumió la presidencia de la República en agosto de 1871 y, a pesar de su acción libertadora del territorio, tuvo que dejar su cargo en marzo de 1873 ante la oposición realista.. Luego es reemplazado por Mac-Mahon favorable a la restauración de la monarquía pero este no es restaurado tras la cuestión de la bandera.. Luego, en noviembre de 1873, se promulgó la ley del septenato y luego, en 1875, se aprobaron las leyes fundamentales que sirvieron como Constitución de la Tercera República.. sistema parlamentario, se caracteriza en particular por la clara preponderancia del poder legislativo sobre el poder ejecutivo. Anticlerical, la Tercera República hace la escuela gratuita, laica y obligatoria pero continúa la política colonial para sus ambiciones económicas, estratégicas y morales. La separación de la Iglesia y el Estado se aprobó en 1905.. La idea de venganza sobre Alemania y un nacionalismo significativo están en el centro de la crisis de Boulangist, el escándalo de Panamá o el asunto Dreyfus de los años 1886-1899, mientras que la política exterior es muy activa, particularmente en Marruecos y que se desarrolla la carrera armamentista.. La Primera Guerra Mundial fue costosa para Francia, que solo recuperó a partir de 1920 o incluso 1928 la moneda con el franco "Poincaré".. La crisis de 1929 se siente solo a partir de 1932 pero dura hasta 1939, período en el que la inestabilidad ministerial es muy importante. Vacilante en 1934, la Tercera República encontró en el antifascismo un nuevo cemento unitario que permitió la llegada al poder del Frente Popular en 1936.. Pero, paralizada frente a Alemania, Francia se vio entonces empantanada en una "guerra falsa" y luego sufrió una de las mayores derrotas de su historia en junio de 1940.. Reunidas en la Asamblea Nacional en Vichy el 10 de julio de 1940, las Cámaras, aunque elegidas en 1936, votaron plenos poderes a Pétain en una especie de suicidio colectivo por 569 votos a favor, 80 votos en contra y 18 abstenciones..
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