Live auction - fco_923752 - TOGO - Territorios sobre mandato frances 50 Centimes léger - Essai de frappe de 50 cts Morlon - 2 grammes 1926 Paris
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Las ofertas ganadoras estarán sometidas a un 18% IVA incluido por gastos de participación a la venta.
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Valoración : | 400 € |
Precio : | 200 € |
Oferta más alta : | 200 € |
Fecha de fin de la venta : | 09 julio 2024 18:29:36 |
participantes : | 1 participante |
Tipo : 50 Centimes léger - Essai de frappe de 50 cts Morlon - 2 grammes
Fecha: 1926
Nombre del taller / ciudad: Paris
Metal: bronze-aluminio
Diámetro: 18,05 mm
Eje de acuñación: 6 h.
Peso: 2,02 g.
Canto: striée
Grado de rareza: R3
Comentarios sobre el estado de conservación:
Exemplaire techniquement neuf mais présentant de petites taches
N° en los catálogos de referencia :
Anverso
Titulatura del anverso: RÉPUBLIQUE - FRANÇAISE / 1926.
Descripción del anverso: Marianne à gauche, portant le bonnet phrygien et couronnée de lauriers.
Reverso
Titulatura del reverso: .TERRITOIRES . SOUS . MANDAT . DE . LA . FRANCE. / CAMEROUN / 50 - CMES (SOULIGNÉ).
Descripción del reverso: trois palmes dressées liées par un ruban.
Comentario
Cet exemplaire pèse 2 grammes, comme la 50 centimes Morlon qui sera émise dès 1931, et nous conduit à penser que les essais de frappe et de flans du type Morlon furent faits en utilisant les coins de Patey pour le Cameroun et le Togo.
Toute la série de ces frappes pour le Togo et le Cameroun des collections Pierre et Michel ont en commun une caractéristique : les états de conservation. En effet, ces monnaies, que leurs poids soient au standard de l’émission coloniale ou sur l’étalon des Morlon, sont absolument neuves et leurs seules imperfections proviennent de manipulations, même pas de chocs entre des monnaies mais des traces de doigts. L’absence de ces petits chocs produits soit par la chute des monnaies tombant dans des bacs après frappe ou par les manipulations en sacs est totale. On pourrait donc même penser que les frappes ont été faites hors circuit industriel. Or, pour ces types, les exemplaires connus, dans le meilleur des cas et les plus belles collections, sont des exemplaires en petits superbes, la circulation en Afrique n’étant manifestement pas une sinécure pour monnaies et rien n’ayant été conservé hors circulation, en métropole.
Les exemplaires des collections Pierre et Michel ne peuvent pas être des prélèvements avant envois en Afrique : nous n’avons jamais vu de tels prélèvements, sur plusieurs millésimes différents, plusieurs valeurs faciales différentes, deux pays différents, être ainsi conservés. Autre remarque, les coins utilisés ne sont pas neufs et viennent d’être repolis : on voit le plus souvent des stries de polissage dans les champs et les reliefs sont uniformément mats sur des champs miroir ; un prélèvement se serait plutôt fait en début de production, donc avec des coins neufs, plus ou moins uniformément brillants.
On a donc tout lieu de penser que la frappe de ces exemplaires s’est faite complètement en dehors de la production standard, et après celle-ci puisque avec des coins repolis, donc probablement en 1926/1927.
Pourquoi ? Manifestement, quand on regarde les poids, le métal, les diamètres, l’époque, la seule hypothèse viable est de considérer ces monnaies comme des essais de frappe de la série Morlon. Cela explique surtout pourquoi ces exemplaires ont été conservés, sont neufs, frappés hors circuit industriel, et présentent ces variations de poids.
Toute la série de ces frappes pour le Togo et le Cameroun des collections Pierre et Michel ont en commun une caractéristique : les états de conservation. En effet, ces monnaies, que leurs poids soient au standard de l’émission coloniale ou sur l’étalon des Morlon, sont absolument neuves et leurs seules imperfections proviennent de manipulations, même pas de chocs entre des monnaies mais des traces de doigts. L’absence de ces petits chocs produits soit par la chute des monnaies tombant dans des bacs après frappe ou par les manipulations en sacs est totale. On pourrait donc même penser que les frappes ont été faites hors circuit industriel. Or, pour ces types, les exemplaires connus, dans le meilleur des cas et les plus belles collections, sont des exemplaires en petits superbes, la circulation en Afrique n’étant manifestement pas une sinécure pour monnaies et rien n’ayant été conservé hors circulation, en métropole.
Les exemplaires des collections Pierre et Michel ne peuvent pas être des prélèvements avant envois en Afrique : nous n’avons jamais vu de tels prélèvements, sur plusieurs millésimes différents, plusieurs valeurs faciales différentes, deux pays différents, être ainsi conservés. Autre remarque, les coins utilisés ne sont pas neufs et viennent d’être repolis : on voit le plus souvent des stries de polissage dans les champs et les reliefs sont uniformément mats sur des champs miroir ; un prélèvement se serait plutôt fait en début de production, donc avec des coins neufs, plus ou moins uniformément brillants.
On a donc tout lieu de penser que la frappe de ces exemplaires s’est faite complètement en dehors de la production standard, et après celle-ci puisque avec des coins repolis, donc probablement en 1926/1927.
Pourquoi ? Manifestement, quand on regarde les poids, le métal, les diamètres, l’époque, la seule hypothèse viable est de considérer ces monnaies comme des essais de frappe de la série Morlon. Cela explique surtout pourquoi ces exemplaires ont été conservés, sont neufs, frappés hors circuit industriel, et présentent ces variations de poids.