E-auction 285-205924 - fme_369737 - PAíSES BAJOS Médaille de la Société Hollandaise de Chimie
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SIN GASTOS PARA LOS COMPRADORES.
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Valoración : | 125 € |
Precio : | 19 € |
Oferta más alta : | 22 € |
Fecha de fin de la venta : | 01 octubre 2018 18:42:00 |
participantes : | 7 participantes |
Tipo : Médaille de la Société Hollandaise de Chimie
Fecha: 1928
Nombre del taller / ciudad: Pays-Bas, La Haye
Metal: bronce
Diámetro: 50 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Peso: 45 g.
Canto: lisse
Cuño: sans poinçon
Comentarios sobre el estado de conservación:
Patine hétérogène. Petite usure
Anverso
Titulatura del anverso: NEDERLANDSCHE CHEMISCHE VERDEENIGING 19-03-1928.
Descripción del anverso: Légende circulaire, autour d’une sorte d’alambic et d’une balance.
Reverso
Titulatura del reverso: TER / GELEGENHEID / VAN HET / 25 JARRIGBESTAAN / IN WELK JAARTEVENS / WERDGEHOUDEN / DE IXE / CONFERENTIE / VAN DE UNION / INTERNATIONALE / DE LA CHIMIE / PURE ET / APPLIQUÉE.
Descripción del reverso: Légende en 13 lignes.
Comentario
Cette médaille a été émise à l’occasion des 25 ans de la Société allemande de Chimie et de la onzième conférence de l’Union internationale de la chimie pure et appliquée (fondée en 1919,
https://iupac.org/).
Après la Première Guerre mondiale les académies des sciences des pays alliés décidèrent de boycotter les scientifiques allemands et la langue allemande et fondèrent en même temps de nouvelles organisations scientifiques internationales : le Conseil international de recherches pour les sciences, qui chapeautait des unions internationales dans les disciplines les plus importantes, et l’Union académique internationale pour les sciences de l’homme. Les langues principales de ces organisations étaient le français et l’anglais. Dans le domaine des sciences, l’accent fut mis sur les unions internationales d’astronomie, de géophysique et géodésie, de chimie, de mathématiques et de médecine. Celles-ci organisaient périodiquement des réunions et des congrès dont étaient exclus les scientifiques allemands et la langue allemande. Le boycott était justifié par le fait que les scientifiques allemands avaient nié la responsabilité allemande dans la guerre et les crimes de guerre commis par l’Allemagne et qu’ils avaient glorifié le militarisme allemand. La guerre et le boycott entraînèrent un important affaiblissement de la position internationale des scientifiques allemands et le recul de la langue allemande comme langue internationale de la science..
https://iupac.org/).
Après la Première Guerre mondiale les académies des sciences des pays alliés décidèrent de boycotter les scientifiques allemands et la langue allemande et fondèrent en même temps de nouvelles organisations scientifiques internationales : le Conseil international de recherches pour les sciences, qui chapeautait des unions internationales dans les disciplines les plus importantes, et l’Union académique internationale pour les sciences de l’homme. Les langues principales de ces organisations étaient le français et l’anglais. Dans le domaine des sciences, l’accent fut mis sur les unions internationales d’astronomie, de géophysique et géodésie, de chimie, de mathématiques et de médecine. Celles-ci organisaient périodiquement des réunions et des congrès dont étaient exclus les scientifiques allemands et la langue allemande. Le boycott était justifié par le fait que les scientifiques allemands avaient nié la responsabilité allemande dans la guerre et les crimes de guerre commis par l’Allemagne et qu’ils avaient glorifié le militarisme allemand. La guerre et le boycott entraînèrent un important affaiblissement de la position internationale des scientifiques allemands et le recul de la langue allemande comme langue internationale de la science..