fjt_628295 - MÉDAILLE DE SOLDAT XVIIIe siècle n.d.
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Tipo : XVIIIe siècle
Fecha: n.d.
Metal: cobre dorado
Diámetro: 36 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Peso: 4,02 g.
Canto: lisse
Grado de rareza: R1
Anverso
Titulatura del anverso: S: GEORGIVS. EQVITVM. PATRONVS..
Descripción del anverso: Saint Georges terrassant le dragon.
Traducción del anverso: (Saint Georges, patron des chevaliers).
Reverso
Titulatura del reverso: IN. TEMPESTATE. SECVRITAS.
Descripción del reverso: Navire à gauche dans la tempête, à l’intérieur Saint Jacques rayonnant.
Traducción del reverso: (En sécurité dans la tempête).
Comentario
Cette médaille était destinée à la protection de celui qui l’emmenait avec lui lors d’un voyage ou d’un pèlerinage. Intéressant témoignage historique.
Du temps ou ni train, ni voiture ni avion n’existaient, on ne pouvait voyager que de deux manières que protègent les deux côtés de ce jeton médaille. Par Saint Georges, patron des chevaliers, c’est le voyage à cheval qui est protégé, et par Saint Jacques, grand navigateur, protecteur des navires, c’est le voyage maritime.
On pourrait considérer cette médaille comme l’équivalent pré-révolutionnaire des médailles de Saint Christophe que l’on trouve parfois dans les taxis et qui protègent les conducteurs et passagers. Aux styles, on peut penser qu’elle fut fabriquée entre le XVIe et le tout début du XXe siècle ce qui fait une longévité impressionnante !
Saint Georges était le protecteur des voyageurs et des pèlerins, notamment de ceux qui se rendaient vers Saint-Jacques de Compostelle. Le récit légendaire fait de lui un officier, chrétien, de l’armée romaine. Vers 300 de notre ère, en Libye, un dragon terrorise les habitants d’une ville (Silène ?). Pour se garantir de sa mortelle haleine, les habitants devaient lui apporter chaque jour deux brebis à dévorer, mais il advint rapidement que les brebis vinrent à manquer et que l'on fut obligé de lui donner d'abord les garçons, puis les filles. Un jour, il ne resta plus que la fille du roi. Georges qui passait par là et la voyant pleurer, lui demanda ce qu'elle avait. Pendant qu'ils parlaient, le dragon s'approcha. Georges saute de son cheval, recommande son âme à Dieu, et court sur le dragon qu'il perce de sa lance. Après ce miracle, La ville se convertit au christianisme.
Du temps ou ni train, ni voiture ni avion n’existaient, on ne pouvait voyager que de deux manières que protègent les deux côtés de ce jeton médaille. Par Saint Georges, patron des chevaliers, c’est le voyage à cheval qui est protégé, et par Saint Jacques, grand navigateur, protecteur des navires, c’est le voyage maritime.
On pourrait considérer cette médaille comme l’équivalent pré-révolutionnaire des médailles de Saint Christophe que l’on trouve parfois dans les taxis et qui protègent les conducteurs et passagers. Aux styles, on peut penser qu’elle fut fabriquée entre le XVIe et le tout début du XXe siècle ce qui fait une longévité impressionnante !
Saint Georges était le protecteur des voyageurs et des pèlerins, notamment de ceux qui se rendaient vers Saint-Jacques de Compostelle. Le récit légendaire fait de lui un officier, chrétien, de l’armée romaine. Vers 300 de notre ère, en Libye, un dragon terrorise les habitants d’une ville (Silène ?). Pour se garantir de sa mortelle haleine, les habitants devaient lui apporter chaque jour deux brebis à dévorer, mais il advint rapidement que les brebis vinrent à manquer et que l'on fut obligé de lui donner d'abord les garçons, puis les filles. Un jour, il ne resta plus que la fille du roi. Georges qui passait par là et la voyant pleurer, lui demanda ce qu'elle avait. Pendant qu'ils parlaient, le dragon s'approcha. Georges saute de son cheval, recommande son âme à Dieu, et court sur le dragon qu'il perce de sa lance. Après ce miracle, La ville se convertit au christianisme.