E-auction 320-237599 - fme_536386 - LUIS FELIPE I Médaille, JULES JANIN, Vicomte de Chateaubriand
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Valoración : | 50 € |
Precio : | 20 € |
Oferta más alta : | 20 € |
Fecha de fin de la venta : | 03 junio 2019 18:30:00 |
participantes : | 6 participantes |
Tipo : Médaille, JULES JANIN, Vicomte de Chateaubriand
Fecha: 1844
Nombre del taller / ciudad: France, Bretagne
Metal: cobre
Diámetro: 41,5 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Peso: 38,07 g.
Canto: lisse + proue CUIVRE
Cuño: Proue (1842 - 1845)
Comentarios sobre el estado de conservación:
Patine marron avec des concrétions vertes à l’avers
N° en los catálogos de referencia :
Anverso
Titulatura del anverso: F. A. VICOMTE DE - CHATEAUBRIAND.
Descripción del anverso: Buste habillé de trois quarts face de Chateaubriand, signé : A. BOVY - D’APRES GIRODET.
Reverso
Titulatura del reverso: LA BRETAGNE HISTORIQUE PAR JULES JANIN.
Descripción del reverso: Écu couronné de Bretagne, signé : ERNEST BOURDIN EDITEUR 1844..
Comentario
Gabriel-Jules Janin, né à Saint-Étienne le 16 février 18041 est mort à Paris le 19 juin 1874, est un écrivain et critique dramatique français.
Fils d’un avocat, Janin reçoit une bonne éducation, d’abord dans sa ville natale puis au lycée Louis-le-Grand à Paris. Après un passage dans l’étude de l’avoué Jean-Baptiste Guillonnet-Merville, où il sera saute-ruisseau en même temps qu’Honoré de Balzac, il devient journaliste et travaille notamment à la Revue de Paris, à la Revue des deux Mondes, au Figaro et à la Quotidienne. Il fut parmi les fondateurs de la Revue de Paris et du Journal des Enfants. Il se fait connaître en 1827 avec le roman L’Âne mort et la femme guillotinée. La Confession en 1830, un peu moins profond, mais au style encore plus remarquable, et Barnave en 1831, où il attaque la famille d’Orléans, finissent d’asseoir sa réputation.
Entre-temps, il entre comme critique au Journal des Débats où il reste quarante ans. Son autorité le fait surnommer « le prince des critiques »..
Fils d’un avocat, Janin reçoit une bonne éducation, d’abord dans sa ville natale puis au lycée Louis-le-Grand à Paris. Après un passage dans l’étude de l’avoué Jean-Baptiste Guillonnet-Merville, où il sera saute-ruisseau en même temps qu’Honoré de Balzac, il devient journaliste et travaille notamment à la Revue de Paris, à la Revue des deux Mondes, au Figaro et à la Quotidienne. Il fut parmi les fondateurs de la Revue de Paris et du Journal des Enfants. Il se fait connaître en 1827 avec le roman L’Âne mort et la femme guillotinée. La Confession en 1830, un peu moins profond, mais au style encore plus remarquable, et Barnave en 1831, où il attaque la famille d’Orléans, finissent d’asseoir sa réputation.
Entre-temps, il entre comme critique au Journal des Débats où il reste quarante ans. Son autorité le fait surnommer « le prince des critiques »..