Live auction - fme_372437 - LUIS FELIPE I Médaille de visite d’Ahmad Pasha bey à Paris
Usted debe firmar y ser un comprador aprobado para pujar, Inicia sesión para pujar. Las cuentas están sujetas a la aprobación y el proceso de aprobación se alcanzan dentro de las 48 horas. No espere hasta el día en una venta se cierra el registro.Al hacer una oferta en este artículo usted está firmando un contrato jurídicamente vinculante para comprar este artículo y haga clic en «oferta» constituye una aceptación de los términos de uso de live auctions de cgb.fr.
La subasta debe ser colocado en euros enteros cantidades venta only.The se cerrará en el momento en la descripción del artículo, no se ejecutarán las ofertas recibidas en el sitio después de la hora de cierre. Veces Transmition pueden variar y las ofertas pueden ser rechazadas si espera a los últimos segundos. Para más información envie el FAQ Live auction.
Las ofertas ganadoras estarán sometidas a un 18% IVA incluido por gastos de participación a la venta.
Las ofertas ganadoras estarán sometidas a un 18% IVA incluido por gastos de participación a la venta.
Valoración : | 1 500 € |
Precio : | no oferta |
Oferta más alta : | no oferta |
Fecha de fin de la venta : | 30 enero 2018 16:56:20 |
Tipo : Médaille de visite d’Ahmad Pasha bey à Paris
Fecha: 1846
Nombre del taller / ciudad: Tunisie
Metal: bronce
Diámetro: 75 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Acuñador FEART Adrien
Peso: 135 g.
Canto: lisse
Grado de rareza: R3
Comentarios sobre el estado de conservación:
Superbe médaille avec une belle patine sombre
Anverso
Titulatura del anverso: LÉGENDES EN ARABE.
Descripción del anverso: Tête de Ahmad Pasha bey, à droite ; couronne de fleurs en listel.
Reverso
Descripción del reverso: Légendes en arabe sur fond floral ; couronne de fleurs en listel.
Comentario
En mai 2014, un exemplaire similaire proposé par Inumis a été vendu 2500€ + frais sur un prix de départ de 500€ à Drouot.
Médaille signée A. FEART SC 1846 au droit sous le buste et ADRIEN FAERT dans la couronne de fleurs / FEART au revers.
Ahmed Ier Bey, né le 2 décembre 1806 à Tunis et mort le 30 mai 1855 à La Goulette, est bey de Tunis de la dynastie des Husseinites de 1837 à sa mort.
Ce voyage a lieu en novembre 1846 et le roi Louis-Philippe réserve au bey une réception splendide à laquelle celui-ci est très sensible. Ce voyage, au cours duquel Ahmed Bey voit beaucoup de choses, renforce le souverain dans ses projets d'imiter les nations européennes. Un article paru en 1897 dans La Revue tunisienne décrit ainsi l'effet qu'a eu cette visite sur la volonté modernisatrice du bey :
« Parmi toutes les merveilles qu'il eut l'occasion d'admirer, son esprit demeura plus particulièrement frappé par les ingénieuses applications du génie industriel ; il conçut dès lors le noble projet de tirer l'industrie indigène hors de la routine où elle était plongée en l'encourageant à entrer dans la voie du progrès et de doter son pays d'établissements spéciaux, armés des moyens de production dont les avantages économiques lui avaient été révélés. »
La visite du bey en France, organisée par son conseiller Giuseppe Raffo avec le consul de France, et le fait que le pays le reçoit avec les honneurs réservés habituellement à un souverain indépendant déplaît aux autorités de l'Empire ottoman car le bey reste, du moins théoriquement, sous la suzeraineté du sultan..
Médaille signée A. FEART SC 1846 au droit sous le buste et ADRIEN FAERT dans la couronne de fleurs / FEART au revers.
Ahmed Ier Bey, né le 2 décembre 1806 à Tunis et mort le 30 mai 1855 à La Goulette, est bey de Tunis de la dynastie des Husseinites de 1837 à sa mort.
Ce voyage a lieu en novembre 1846 et le roi Louis-Philippe réserve au bey une réception splendide à laquelle celui-ci est très sensible. Ce voyage, au cours duquel Ahmed Bey voit beaucoup de choses, renforce le souverain dans ses projets d'imiter les nations européennes. Un article paru en 1897 dans La Revue tunisienne décrit ainsi l'effet qu'a eu cette visite sur la volonté modernisatrice du bey :
« Parmi toutes les merveilles qu'il eut l'occasion d'admirer, son esprit demeura plus particulièrement frappé par les ingénieuses applications du génie industriel ; il conçut dès lors le noble projet de tirer l'industrie indigène hors de la routine où elle était plongée en l'encourageant à entrer dans la voie du progrès et de doter son pays d'établissements spéciaux, armés des moyens de production dont les avantages économiques lui avaient été révélés. »
La visite du bey en France, organisée par son conseiller Giuseppe Raffo avec le consul de France, et le fait que le pays le reçoit avec les honneurs réservés habituellement à un souverain indépendant déplaît aux autorités de l'Empire ottoman car le bey reste, du moins théoriquement, sous la suzeraineté du sultan..