v33_1703 - Faux de 20 francs or Napoléon III, tête laurée, désaxée 1863 Strasbourg F.532/7 var.
MONNAIES 33 (2007)
Precio de inicio : 180.00 €
Valoración : 400.00 €
Precio realizado : 220.00 €
Número de ofertas : 2
Oferta más alta : 420.00 €
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Tipo : Faux de 20 francs or Napoléon III, tête laurée, désaxée
Fecha: 1863
Nombre del taller / ciudad: Strasbourg
Cantidad acuñada: ---
Metal: oro
Milésimas de pureza : 900 ‰
Diámetro: 21,24 mm
Eje de acuñación: 5 h.
Peso: 6,35 g.
Canto: en relief ***** DIEU* PROTEGE* LA* FRANCE
Grado de rareza: R2
Comentarios sobre el estado de conservación:
Minime apparence d’usure tenant plutôt à la fabrication qu’à la circulation
N° en los catálogos de referencia :
Anverso
Titulatura del anverso: NAPOLEON III - EMPEREUR.
Descripción del anverso: Tête laurée de Napoléon III à droite ; signé BARRE au-dessous.
Reverso
Titulatura del reverso: EMPIRE - FRANÇAIS// 20 - FR// BB 1863.
Descripción del reverso: Écu orné d'un aigle posé sur un foudre, entouré du collier de la Légion d'Honneur, posé sur un manteau brochant un sceptre et une main de justice.
Comentario
L’analyse de l’usure est intéressante car les listels sont francs et aigus, la tranche superbe est vive alors que les plats sont assez mous. La monnaie n’a pas circulé mais a été fabriquée à partir de moulages puis marquée sur la tranche par un moyen mécanique. Il est probable que le faussaire ait cherché à réaliser la plus belle tranche possible, peut-être pour faire des échange dans des rouleaux.
On note un poids assez exact et un or apparemment au titre, ce qui permet de dater cette pièce de la crise du bi-métallisme, au tournant du siècle. On reste perplexe sur la négligence d’avoir fabriqué la pièce en axe à 5 heures : un faussaire ne devrait-il pas avoir à cœur de ne pas attirer l’attention ? Autre erreur mais moins visible, le différent du droit est l’abeille de Paris et non la croix de Strasbourg.
Ce faux est du même atelier que le faux de 1896 de cette vente car ces deux pièces, aux axes erratiques, sont de tranche identique.
On note un poids assez exact et un or apparemment au titre, ce qui permet de dater cette pièce de la crise du bi-métallisme, au tournant du siècle. On reste perplexe sur la négligence d’avoir fabriqué la pièce en axe à 5 heures : un faussaire ne devrait-il pas avoir à cœur de ne pas attirer l’attention ? Autre erreur mais moins visible, le différent du droit est l’abeille de Paris et non la croix de Strasbourg.
Ce faux est du même atelier que le faux de 1896 de cette vente car ces deux pièces, aux axes erratiques, sont de tranche identique.