fnc_242999 - ETABLISSEMENTS JACOB HOLTZER 10 Centimes Unieux
25.00 €
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Tipo : 10 Centimes
Fecha: n.d.
Nombre del taller / ciudad: Unieux
Metal: aluminio
Diámetro: 30 mm
Eje de acuñación: 6 h.
Peso: 1,89 g.
N° en los catálogos de referencia :
Anverso
Titulatura del anverso: (FLEUR) ETABLISSEMENTS JACOB HOLTZER (FLEUR) // UNIEUX (LOIRE).
Descripción del anverso: Au centre : 10c/.. Sous la valeur faciale, une contremarque représentant une cloche..
Reverso
Titulatura del reverso: (FLEUR) VALABLE SEULEMENT (FLEUR) / DANS NOS USINES.
Descripción del reverso: Au centre : 10C/..
Comentario
Cette monnaie existe sans, avec une ou avec deux contremarques.
Jean-Jacques (Johann-Jacob) Holtzer dit Jacob Holtzer est un industriel français né à Klingenthal (Bas-Rhin), le 19 mars 1802 et mort à Unieux (Loire), le 9 janvier 1862.
« Son père, forgeur de lames de sabres et de baïonnettes (à la Manufacture d’armes de Klingenthal), lui faisait gagner au soufflet de sa forge les deux sous et la bûche de bois que l’enfant portait chaque mois au magister du village ; encore l’écolier était-il sous la dépendance du tireur de soufflet chaque fois que le travail l’exigeait[1]. » Il perd sa mère à 10 ans, son père trois ans plus tard. S’il quitte l’Alsace adolescent, il reste très attaché à sa petite patrie : il y revient, en effet, se marier, le 30 septembre 1827, à Heiligenstein et en 1859, il offre une cloche d’acier et une plaquette au temple de Klingenthal.
Pour la suite de cette passionnante biographie voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Holtzer.
Jean-Jacques (Johann-Jacob) Holtzer dit Jacob Holtzer est un industriel français né à Klingenthal (Bas-Rhin), le 19 mars 1802 et mort à Unieux (Loire), le 9 janvier 1862.
« Son père, forgeur de lames de sabres et de baïonnettes (à la Manufacture d’armes de Klingenthal), lui faisait gagner au soufflet de sa forge les deux sous et la bûche de bois que l’enfant portait chaque mois au magister du village ; encore l’écolier était-il sous la dépendance du tireur de soufflet chaque fois que le travail l’exigeait[1]. » Il perd sa mère à 10 ans, son père trois ans plus tard. S’il quitte l’Alsace adolescent, il reste très attaché à sa petite patrie : il y revient, en effet, se marier, le 30 septembre 1827, à Heiligenstein et en 1859, il offre une cloche d’acier et une plaquette au temple de Klingenthal.
Pour la suite de cette passionnante biographie voir http://fr.wikipedia.org/wiki/Jacob_Holtzer.