Live auction - fmd_608786 - Cinq centimes Napoléon III, tête laurée, satirique pour le Général Boulanger 1864 Bordeaux F.117/15 var.
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Las ofertas ganadoras estarán sometidas a un 18% IVA incluido por gastos de participación a la venta.
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Valoración : | 250 € |
Precio : | 125 € |
Oferta más alta : | 125 € |
Fecha de fin de la venta : | 24 octubre 2023 18:12:04 |
participantes : | 1 participante |
Tipo : Cinq centimes Napoléon III, tête laurée, satirique pour le Général Boulanger
Fecha: 1864
Nombre del taller / ciudad: Bordeaux
Cantidad acuñada: ---
Metal: bronce
Diámetro: 25 mm
Eje de acuñación: 6 h.
Peso: 4,62 g.
Canto: lisse
Grado de rareza: R2
N° en los catálogos de referencia :
Anverso
Titulatura del anverso: NAPOLEON III - EMPEREUR// 1864.
Descripción del anverso: La tête de Napoléon III à gauche regravée à l’image du Général Boulanger avec képi, barbe et moustache, col de général, au-dessous BARRE ; le tout dans un grènetis.
Reverso
Titulatura del reverso: EMPIRE - FRANÇAIS// * CINQ CENTIMES *.
Descripción del reverso: Aigle debout sur un foudre, les ailes ouvertes, la tête tournée à droite ; au-dessous K.
Comentario
Les monnaies satiriques sont plus rares sur des modules de Cinq Centimes ; c’est la première fois que nous en proposons une à l’effigie du Général Boulanger.
Georges Boulanger, officier général et homme politique, est né le 29 avril 1837 à Rennes et est mort le 30 septembre 1891 à Ixelles en Belgique. Il est ministre de la Guerre (parti républicain) de 1886 à 1887. Il est connu pour avoir ébranlé la Troisième République, porté par un mouvement portant le nom de boulangisme. Sa popularité est due à divers coups d'éclat et des circonstances peu banales : il réussit à faire expulser du gouvernement le duc D'Aumale, il soutient les mineurs grévistes et invite l'armée envoyée contre eux de se joindre à leur mouvement, il améliore les conditions des soldats... Après avoir réussi à rassembler autour de lui tous les mécontents, de l'extrême gauche à la droite dure et nationaliste, il est triomphalement élu dans plusieurs départements (ainsi qu'à Paris) mais, bien qu’appuyé par tous, il renonce, en 1889, à faire le coup d'État qui l’aurait porté au pouvoir et s'enfuit en Belgique. Condamné à la prison à perpétuité par contumace, il se suicide sur la tombe de sa maîtresse.
Georges Boulanger, officier général et homme politique, est né le 29 avril 1837 à Rennes et est mort le 30 septembre 1891 à Ixelles en Belgique. Il est ministre de la Guerre (parti républicain) de 1886 à 1887. Il est connu pour avoir ébranlé la Troisième République, porté par un mouvement portant le nom de boulangisme. Sa popularité est due à divers coups d'éclat et des circonstances peu banales : il réussit à faire expulser du gouvernement le duc D'Aumale, il soutient les mineurs grévistes et invite l'armée envoyée contre eux de se joindre à leur mouvement, il améliore les conditions des soldats... Après avoir réussi à rassembler autour de lui tous les mécontents, de l'extrême gauche à la droite dure et nationaliste, il est triomphalement élu dans plusieurs départements (ainsi qu'à Paris) mais, bien qu’appuyé par tous, il renonce, en 1889, à faire le coup d'État qui l’aurait porté au pouvoir et s'enfuit en Belgique. Condamné à la prison à perpétuité par contumace, il se suicide sur la tombe de sa maîtresse.