fjt_509132 - CHAMBRES DE COMMERCE Chambre de commerce de Dieppe (Louis XV) 1758
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Tipo : Chambre de commerce de Dieppe (Louis XV)
Fecha: 1758
Metal: plata
Diámetro: 28,15 mm
Eje de acuñación: 6 h.
Peso: 8,5 g.
Canto: cannelée
Grado de rareza: R1
Comentarios sobre el estado de conservación:
nettoyé
N° en los catálogos de referencia :
Anverso
Titulatura del anverso: LUD. AMATISS. ÆQUI ARBITER.
Descripción del anverso: Buste de Louis XV à droite avec une légende très particulière, type Guéant Prieur 636A.
Traducción del anverso: Louis le Bien-Aimé arbitre de la Justice.
Reverso
Titulatura del reverso: LIBRATIO CELER ET AEQUA À L'EXERGUE : LES PRIEUR ET JUGES CONSULS DE DIEPPE 1758.
Descripción del reverso: Allégorie de la Justice tenant un rameau et une balance, assise à gauche.
Traducción del reverso: Sa pesée est rapide et égale.
Comentario
Buste exceptionnel à la légende très particulière qui a certainement été gravé spécialement pour cette Chambre de commerce. Feuardent ne cite pas ce buste dans ses planches mais le cite dans le texte comme étant un buste varié
Les juridictions consulaires remontent à Henri II. Dans ces lieux de réunions, les marchands élisent entre eux un prieur et deux juges-consuls qui règlent en première instance les problèmes entre négociants. Les juges-consuls ou juges des tribunaux de commerce sont établis par un édit de 1563. Ils étaient souvent d’anciens consuls (officiers municipaux) d’où leur nom. Au XVIIIe siècle, les juges-consuls jugeaient souverainement jusqu’à 500 livres (au-delà, l’affaire relevait des Parlements) Les commissaires étaient hiérarchisés en Prieur, Président, Juges Consuls, assistants, et éventuellement un Procureur Syndic avec des négociants représentants chaque corps de métier.
Les juridictions consulaires remontent à Henri II. Dans ces lieux de réunions, les marchands élisent entre eux un prieur et deux juges-consuls qui règlent en première instance les problèmes entre négociants. Les juges-consuls ou juges des tribunaux de commerce sont établis par un édit de 1563. Ils étaient souvent d’anciens consuls (officiers municipaux) d’où leur nom. Au XVIIIe siècle, les juges-consuls jugeaient souverainement jusqu’à 500 livres (au-delà, l’affaire relevait des Parlements) Les commissaires étaient hiérarchisés en Prieur, Président, Juges Consuls, assistants, et éventuellement un Procureur Syndic avec des négociants représentants chaque corps de métier.