v55_0601 - CELTICOS DEL DANUBIO Tétradrachme “au rameau”
MONNAIES 55 (2012)
Precio de inicio : 380.00 €
Valoración : 600.00 €
Precio realizado : 380.00 €
Precio de inicio : 380.00 €
Valoración : 600.00 €
Precio realizado : 380.00 €
Tipo : Tétradrachme “au rameau”
Fecha: (IIe-Ier siècles avant J.-C.)
Metal: plata
Diámetro: 24,5 mm
Eje de acuñación: 5 h.
Peso: 14,20 g.
Grado de rareza: R2
Comentarios sobre el estado de conservación:
Monnaie de bon style avec un beau portrait de haut relief, sur un flan un tout petit peu court et épais. Frappe centrée des deux côtés. Agréable patine grise, très légèrement tachée au revers
N° en los catálogos de referencia :
Anverso
Titulatura del anverso: ANÉPIGRAPHE.
Descripción del anverso: Tête laurée de Zeus à gauche, grènetis.
Reverso
Descripción del reverso: Cavalier au pas à gauche, tenant une palme de la main droite ; le cheval lève l'antérieur à droite ; légende dégénérée autour du cheval.
Leyenda del reverso: FILIP - POU.
Comentario
Ce statère semble être des mêmes coins que le n° 688 de MONNAIES 28 et du n° 3 de la vente LANZ 154. Mis à part ces exemplaires, ce type précis semble manquer à tous les ouvrages et catalogues de musées consultés.
Si le statère d’or de Philippe II de Macédoine a servi de prototype à de nombreuses imitations gauloises, le tétradrachme n’a pas été imité en Gaule, mais reste principal sujet d’inspiration des monnaies pour les Celtes du Danube (LT. 9697-9767, 9768-9832, 9618-9630, 9870-9886). Les premières imitations furent frappées dans le premier quart du IIIe siècle avant J.-C. La fabrication des copies serviles, puis des imitations, enfin des frappes celtiques continuèrent pendant plus de deux siècles.
Si le statère d’or de Philippe II de Macédoine a servi de prototype à de nombreuses imitations gauloises, le tétradrachme n’a pas été imité en Gaule, mais reste principal sujet d’inspiration des monnaies pour les Celtes du Danube (LT. 9697-9767, 9768-9832, 9618-9630, 9870-9886). Les premières imitations furent frappées dans le premier quart du IIIe siècle avant J.-C. La fabrication des copies serviles, puis des imitations, enfin des frappes celtiques continuèrent pendant plus de deux siècles.