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E-auction 202-131554 - fjt_425295 - BOURGOGNE (ÉTATS DE ...) Fin de la Fronde 1653

BOURGOGNE (ÉTATS DE ...) Fin de la Fronde BC+
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Valoración : 12 €
Precio : 9 €
Oferta más alta : 9 €
Fecha de fin de la venta : 27 febrero 2017 17:47:00
participantes : 4 participantes
Tipo : Fin de la Fronde
Fecha: 1653
Metal: cobre
Diámetro: 27 mm
Eje de acuñación: 6 h.
Canto: lisse
N° en los catálogos de referencia :

Anverso


Titulatura del anverso: * COMITIA * BVRGVNDIÆ *.
Descripción del anverso: Armes de Bourgogne dans une couronne ; à l’exergue : .1653..
Traducción del anverso: (États de Bourgogne).

Reverso


Titulatura del reverso: .LIBERATORI. DEBITAM. REPENDO.
Descripción del reverso: La province de Bourgogne offre une couronne de laurier au jeune roi, à l’arrière une ville ; à l’exergue un fleuron.
Traducción del reverso: J'offre à mon libérateur la couronne qui lui est due.

Comentario


Les Frondeurs se réfugièrent une nouvelle fois à Seurre lorsqu’ils apprirent la libération du prince de Condé. Durant l’exil de celui-ci en Guyenne, la ville est prise par d’Épernon qui fait raser les fortifications. Le roi est présenté comme le libérateur de la province.
Les États de Bourgogne ont fait l'objet de plusieurs études : Rossignol en 1851 ; Preux dans l'ASFN en 1867 et Fontenay, Manuel de l'amateur de jetons, 1854 auquel nous empruntons de nombreuses descriptions de jetons ainsi que les commentaires suivants : "Les États de Bourgogne votaient les impôts, aides et subsides. La province réglait son administration économique dans des assemblées générales, et après les sessions, l'exécution des votes appartenait à des Élus généraux pris dans tous les rangs de la société et dont la conduite était censurée à chaque triennalité par des commissaires spéciaux et indépendants. Les Élus faisaient la répartition des impôts, et pour cela ils nommaient de droit tous leurs officiers, ordonnaient les constructions publiques et les réparations des grandes routes, réglaient la levée et la dépense des milices, opéraient la liquidation des étapes, l'adjudication des octrois sur la Saône et tenaient en leurs mains l'importante direction des crues sur le sel que l'on ne pouvait amener en Bourgogne sans leur approbation. Les habitants n'étaient point traduits hors de leur ressort. Les États avaient le droit de rembourser de leurs finances tout office à la charge du pays ; le roi ne pouvait en créer de nouveaux sans le consentement de la province, et moins encore disposer de la province sans son aveu. (...) Quelques mots suffiront pour donner une idée de l'organisation des États de Bourgogne. Ils se composaient des trois positions sociales ou des trois Ordres de la société, le Clergé, la Noblesse et le Tiers-État. Le premier représentait la sagesse, les lumières et la bonté ; le second, la force, la gloire et la grandeur ; le troisième, l'industrie, le commerce et l'agriculture. On ne pouvait trouver rien de plus juste et de plus complet. L'inégalité numérique des trois Ordres disparaissait au moment du vote : au moment solennel de la décision, il n'y avait que trois voix ; et celle du Tiers, qui eût été insignifiante si l'on avait compté par têtes, avait le pouvoir de faire pencher la balance du côté où elle voulait. La représentation des pouvoirs se complétait par la présence aux États des envoyés de Mgr le Duc et plus tard de ceux de Sa Majesté. L'Élu du premier avait pour mission de veiller d'une manière toute spéciale sur les intérêts de la couronne ducale et de l'édifier sur tout ce qui se passait dans l'administration des finances. Sous le régime monarchique, le roi s'appuyait encore sur le Parlement dont le président prenait la parole à l'ouverture des États pour soutenir les demandes de la couronne ; il avait de plus l'intendant et le gouverneur de la province ; puis la chambre des comptes dont les Maîtres étaient plus habitués que personne au maniement des jetons. Après une session d'un mois, l'assemblée générale laissait pour administrer le pays, pendant trois années, une petite assemblée ou Chambre des Élus généraux composée, comme elle, des éléments intéressés, c'est-à-dire appartenant aux trois Ordres. L'Élu du roi, deux députés de la chambre des comptes, le trésorier général et l'intendant de la province avaient droit d'y entrer pour la couronne, comme les deux secrétaires des États, mais sans voix délibérative. L'Élu de la Noblesse était seul électif ; ceux du Clergé et du Tiers arrivaient alternativement à la Chambre. L'Église fournissait tantôt un évêque, tantôt un abbé, tantôt un doyen de la province à tour de rôle. Le représentant du Tiers-État était successivement un maire de l'une des quatorze villes inscrites à la grande roue ; et par privilège, cet Ordre avait encore son président-né, le maire de Dijon. Les petites villes ainsi que les chanoines et les prieurs n'étaient pas privés de leur part de pouvoir, car c'est dans leur sein que se recrutait la majeure partie des Alcades. Les Alcades formaient un conseil de censure qui recherchait en outre les choses utiles à proposer au pays et surveillait les opérations de la grande roue. Ils composaient un conseil suprême pour protéger la province contre l'erreur, la négligence, le mauvais vouloir ou l'ambition de ses administrateurs. En somme, le grand conseil était jugé par le petit.

Historial


BOURGOGNE (ÉTATS DE ...)

Los Estados de Borgoña han sido objeto de varios estudios: Rossignol en 1851; Preux en la ASFN en 1867 y Fontenay, Manuel de l'amateur de tokens, 1854 de donde tomamos prestadas muchas descripciones de tokens así como los siguientes comentarios: "Los Estados de Borgoña votaron impuestos, ayudas y subsidios. La provincia regulaba su administración económica en asambleas generales, y después de las sesiones, la ejecución de los votos correspondía a Generales Electos tomados de todos los estamentos de la sociedad y cuya conducta era censurada en cada trienio por comisionados especiales e independientes.. Los Elegidos hacían la distribución de los tributos, y para ello designaban de derecho a todos sus oficiales, ordenaban las construcciones públicas y las reparaciones de los caminos principales, reglamentaban el levantamiento y el gasto de las milicias, operaban la liquidación de las etapas, la adjudicación de las concesiones del Saona y tenían en sus manos la importante gestión de las crecidas de la sal que no podían llevarse a Borgoña sin su aprobación. Los habitantes no fueron trasladados fuera de su jurisdicción.. Los Estados tenían derecho a reembolsar de su hacienda cualquier cargo cargado al país; el rey no podía crear nuevos sin el consentimiento de la provincia, y mucho menos disponer de la provincia sin su consentimiento. (. . . ) Unas pocas palabras bastarán para dar una idea de la organización de los Estados de Borgoña. Consistían en las tres posiciones sociales o los tres Órdenes de la sociedad, el Clero, la Nobleza y el Tercer Estado.. El primero representaba la sabiduría, la iluminación y la bondad; el segundo, fuerza, gloria y grandeza; la tercera, industria, comercio y agricultura. No podrías encontrar nada más justo y completo.. La desigualdad numérica de las tres Órdenes desapareció en el momento de la votación: en el momento solemne de la decisión, sólo hubo tres votos; y la del Tercero, que habría sido insignificante si hubiéramos contado por cabezas, tenía el poder de inclinar la balanza en la dirección que quisiera.. La representación de poderes se completó con la presencia en los Estados de los enviados del Duque y posteriormente de los de Su Majestad. Los Elegidos del primero tenían la misión de velar de manera muy especial por los intereses de la corona ducal y edificarla sobre todo lo que sucedía en la administración de las finanzas.. Bajo el régimen monárquico, el rey seguía confiando en el Parlamento cuyo presidente hablaba en la apertura de los Estados para apoyar las demandas de la corona; tenía además el intendente y el gobernador de la provincia; luego la cámara de cuentas cuyos Maestros estaban más acostumbrados que nadie al manejo de fichas. Después de una sesión de un mes, la asamblea general dejó administrar el país, durante tres años, a una pequeña asamblea o Cámara de Generales Electos compuesta, como ella, por los elementos interesados, es decir pertenecientes a las tres Órdenes.. El rey electo, dos diputados de la cámara de cuentas, el tesorero general y el intendente de la provincia tenían derecho a entrar por la corona, como los dos secretarios de los Estados, pero sin voz deliberante.. El Elegido de la Nobleza era el único electivo; los del Clero y los de las Gradas llegaron alternativamente a la Cámara. La Iglesia a veces proporcionaba un obispo, a veces un abad, a veces un decano de la provincia a su vez.. El representante del Tercer Estado fue sucesivamente alcalde de uno de los catorce pueblos que figuran en la rueda de la fortuna; y por privilegio, esta Orden todavía tenía su presidente nato, el alcalde de Dijon. Los pueblos pequeños, así como los canónigos y los priores, no fueron privados de su parte de poder, porque fue dentro de ellos donde se reclutaron la mayoría de los Alcades.. Los Alcades formaron un consejo de censura que también buscaba cosas útiles para ofrecer al país y supervisaba el funcionamiento de la rueda de la fortuna.. Compusieron un consejo supremo para proteger a la provincia contra el error, la negligencia, la mala voluntad o la ambición de sus administradores.. En resumen, el gran consejo fue juzgado por el pequeño.

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