Live auction - fme_858286 - BANQUES - ÉTABLISSEMENTS DE CRÉDIT Médaille, Centenaire de la Banque
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Las ofertas ganadoras estarán sometidas a un 18% IVA incluido por gastos de participación a la venta.
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Valoración : | 200 € |
Precio : | 155 € |
Oferta más alta : | 155 € |
Fecha de fin de la venta : | 24 octubre 2023 19:10:46 |
participantes : | 2 participantes |
Tipo : Médaille, Centenaire de la Banque
Fecha: 1951
Nombre del taller / ciudad: Tunisie
Metal: plata
Milésimas de pureza : 950 ‰
Diámetro: 76,5 mm
Eje de acuñación: 12 h.
Acuñador COËFFIN Josette Hébert (1906-1973)
Peso: 195,69 g.
Canto: lisse + corne 1ARGENT
Cuño: corne 1ARGENT
Comentarios sobre el estado de conservación:
Patine hétérogène, de l’usure sur les certains hauts reliefs et des taches d’oxydation visible, notamment sur la tranche. Quelques coups sur la tranche
Anverso
Titulatura del anverso: CENTENAIRE DE LA BANQUE DE L’ALGÉRIE ET DE LA TUNISIE.
Descripción del anverso: Inscriptions en arabe dans le champ (en souvenir du centenaire de la banque algérienne et tunisienne), au-dessous 1268-1370 (AH). Signé : J. H. COEFFIN.
Reverso
Titulatura del reverso: 1851 - 1951.
Descripción del reverso: Dans le champ, alternance d'épis, de moutons, de grappes de raisin, d'immeubles avec la vue du port d’Alger. Signé : J. H. COEFFIN.
Comentario
Josette Hébert-Coëffin, née le 16 décembre 1906 à Rouen et morte le 3 juin 1973 à Paris, est une sculptrice et graveuse-médailleuse française. Elle est l'élève de Robert Wlérick, Charles Despiau et Maurice Gensoli. Elle suit des études à l'école des beaux-arts de Rouen où elle obtient un premier prix de sculpture et d'architecture en 1922. Elle est la première lauréate de la fondation John-Simon-Guggenheim à New York. Elle crée des modèles pour la manufacture nationale de Sèvres. Elle obtient une médaille d'or à l'Exposition internationale de 1937 ainsi qu'une médaille d'or de la société d'encouragement pour l'industrie.
La Banque de l'Algérie est une institution financière et monétaire fondée en 1851 et démantelée en 1963 dépendant de la Banque de France. Destinée à gérer la politique monétaire et financière en Algérie, alors sous domination française, la banque est créée sous la IIe République, par une loi adoptée le 4 août 1851 par l'Assemblée nationale législative et promulguée le 8 août par Louis-Napoléon Bonaparte, alors président de la République. Il s'agit alors d'une banque d'escompte, de circulation et de dépôt ayant la forme d'une société anonyme au capital de trois millions de francs — représentés par six mille actions de cinq cents francs — et à laquelle est concédé — initialement pour vingt ans — le privilège d'émettre des billets au porteur de 1000, 500, 200, 100 et 50 francs algériens. Ces billets sont remboursables à vue au siège de la banque ou dans l'une de ses succursales. Un décret du 30 mars 1861 porte le capital de la banque à 10 millions de francs, représentés par 20 000 actions de cinq cents francs,10 et son privilège d'émission est reconduit. Après guerre, les trois partis de la résistance, le PCF, le SFIO et le MRP, demandent la nationalisation des grandes banques (loi du 2 décembre 1945), et de la Banque de l’Algérie. Par la loi no 46-1070 du 17 mai 1946, celle-ci est nationalisée puis, par loi no 49-49 du 12 janvier 1949, elle devient la Banque de l'Algérie et de la Tunisie. À la fin du protectorat de la Tunisie, les bureaux tunisiens ferment et la "Banque de l'Algérie et de la Tunisie" redevient Banque de l'Algérie le 1er août 1958. Le personnel sera muté et réparti entre l'Algérie et Paris..
La Banque de l'Algérie est une institution financière et monétaire fondée en 1851 et démantelée en 1963 dépendant de la Banque de France. Destinée à gérer la politique monétaire et financière en Algérie, alors sous domination française, la banque est créée sous la IIe République, par une loi adoptée le 4 août 1851 par l'Assemblée nationale législative et promulguée le 8 août par Louis-Napoléon Bonaparte, alors président de la République. Il s'agit alors d'une banque d'escompte, de circulation et de dépôt ayant la forme d'une société anonyme au capital de trois millions de francs — représentés par six mille actions de cinq cents francs — et à laquelle est concédé — initialement pour vingt ans — le privilège d'émettre des billets au porteur de 1000, 500, 200, 100 et 50 francs algériens. Ces billets sont remboursables à vue au siège de la banque ou dans l'une de ses succursales. Un décret du 30 mars 1861 porte le capital de la banque à 10 millions de francs, représentés par 20 000 actions de cinq cents francs,10 et son privilège d'émission est reconduit. Après guerre, les trois partis de la résistance, le PCF, le SFIO et le MRP, demandent la nationalisation des grandes banques (loi du 2 décembre 1945), et de la Banque de l’Algérie. Par la loi no 46-1070 du 17 mai 1946, celle-ci est nationalisée puis, par loi no 49-49 du 12 janvier 1949, elle devient la Banque de l'Algérie et de la Tunisie. À la fin du protectorat de la Tunisie, les bureaux tunisiens ferment et la "Banque de l'Algérie et de la Tunisie" redevient Banque de l'Algérie le 1er août 1958. Le personnel sera muté et réparti entre l'Algérie et Paris..