brm_313894 - AUGUSTO, CAYO y LUCIO Denier
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Artículo vendido en nuestra tienda (2015)
Precio : 250.00 €
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Precio : 250.00 €
Tipo : Denier
Fecha: 2 AC. - AD. 12
Nombre del taller / ciudad: Lyon
Metal: plata
Milésimas de pureza : 900 ‰
Diámetro: 18 mm
Eje de acuñación: 4 h.
Peso: 3,69 g.
Grado de rareza: R1
Comentarios sobre el estado de conservación:
Exemplaire sur un flan ovale et irrégulier, bien centré des deux côtés, mais court sur les légendes avec une usure régulière. Très belle tête d’Auguste. Revers de frappe un peu molle. Belle patine grise de collection ancienne avec des reflets dorés
N° en los catálogos de referencia :
Pedigrí:
Cet exemplaire provient de la collection F. de La Viuda
Anverso
Titulatura del anverso: CAESAR AVGVSTVS - DIVI F PATER PATRIAE.
Descripción del anverso: Tête laurée d'Auguste à droite (O*).
Traducción del anverso: “Cæsar Augustus Divi Filius Pater Patriæ”, (César Auguste fils du divin Jules, père de la patrie).
Reverso
Titulatura del reverso: C. L. CAESARES À L'EXERGUE/ AVGVSTI F COS DESIG [PRINC IVVENT].
Descripción del reverso: Caius et Lucius Césars debout de face, vêtus de la toge, tenant chacun un bouclier rond et une haste ; simpulum à gauche, le lituus à droite.
Traducción del reverso: "Caius et Lucius Cæsares/ Augusti filii consules designati Principes Iuventutis" (Caius et Lucius Césars, fils d'Auguste, consuls désignés, princes de la jeunesse).
Comentario
Rubans de type 3. C’est l’un des deniers les plus courants de l’atelier de Lyon. C’est aussi l’une des pièces qui se rencontre le plus souvent en Gaule. C’est encore l’un des deniers qui ont été le plus imités aussi bien dans les limites de l’Empire qu’en dehors du limes. Le denier représentant les deux petits-fils d’Auguste eut un succès considérable en Gaule. Nous devons modifier notre vision de la circulation monétaire entre la fin de la guerre des Gaules et la mort de Néron en 68 après J.-C. Monnaies gauloises en argent, en bronze et en potin circulèrent conjointement avec les monnaies romaines qui se répandirent largement en dehors de la Narbonnaise. Il faut évoquer le néologisme de circulation “romano-gauloise” plutôt que gallo-romaine.