fjt_461487 - ACADÉMIE DE CHIRURGIE 1723
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Fecha: 1723
Metal: plata
Diámetro: 29 mm
Eje de acuñación: 6 h.
Peso: 6,68 g.
Grado de rareza: R1
Comentarios sobre el estado de conservación:
Très jolie patine
N° en los catálogos de referencia :
Anverso
Titulatura del anverso: LUD. XV. REX CHRISTIANISS.
Descripción del anverso: Buste à droite de Louis XV signé DUVIVIER F. [type n° 314].
Traducción del anverso: Louis XV, roi très chrétien.
Reverso
Titulatura del reverso: CONSILIOQUE. MANUQUE ; À L'EXERGUE : ACAD. CHIR. PARIS. 1723.
Descripción del reverso: Une main couronnée et oculée entre deux serpents dressés.
Traducción del reverso: Par sa prudence et par sa main.
Comentario
Dans la vente Feuardent, ce type était le lot 821, adjugé 60 francs.
Bien que l'Académie royale de Chirurgie ne fût établie qu'en 1731, le journal de la Monnaie des Médailles confirme bien que ces jetons furent frappés en 1723. L'occasion qui donna lieu à cette frappe reste à éclaircir. Frappe particulièrement bien venue avec l'oeil bien net dans la main. Le symbolisme de ces jetons s'explique facilement si l'on se rappelle l'aspect "boucher" que pouvait prendre l'exercice de la profession de chirurgien en ces temps sans anesthésie ni aseptie : l'oeil dans la main indique que le chirurgien est si habile de ses mains que tout se passe comme s'il y avait un oeil .
Bien que l'Académie royale de Chirurgie ne fût établie qu'en 1731, le journal de la Monnaie des Médailles confirme bien que ces jetons furent frappés en 1723. L'occasion qui donna lieu à cette frappe reste à éclaircir. Frappe particulièrement bien venue avec l'oeil bien net dans la main. Le symbolisme de ces jetons s'explique facilement si l'on se rappelle l'aspect "boucher" que pouvait prendre l'exercice de la profession de chirurgien en ces temps sans anesthésie ni aseptie : l'oeil dans la main indique que le chirurgien est si habile de ses mains que tout se passe comme s'il y avait un oeil .
Historial
ACADÉMIE DE CHIRURGIE
En el Antiguo Régimen, la cirugía era una práctica artesanal que se ocupaba de tratar las manifestaciones externas de la enfermedad, de ahí el desprecio que se le asociaba, basado en su carácter manual y en el horror de la Iglesia a ver derramada la sangre. Sin embargo, es un motor del progreso médico en la medida en que favorece la experimentación.. En 1691, un edicto reconoció la especificidad de los cirujanos sobre los peluqueros al prohibirles tener una tienda. Sin embargo, en 1731, Georges Mareschal, cirujano del rey, y La Peyronie crearon una Sociedad Académica de Cirujanos de París que, en 1748, se convirtió en la Real Academia de Cirugía, bajo el patrocinio de Luis XV.. Los practicantes ganan así reconocimiento científico y social.. A finales del Antiguo Régimen existían unas quince escuelas de cirugía (Burdeos, Lyon, Nantes, Orleans, Rouen, Toulouse, etc.. ). Consejos de lectura: DESAIVE J. -PAG. , GOUBERT J.. -PAG. , LE ROY LADURIE E. , MEYERJ. , MULLER O. y PEDRO J.. -PAG. , "Médicos, climas y epidemias a finales del siglo XVIII", París/La Haya, 1972; LEBRUN F. , "Cuídate en el pasado. Médicos, santos y hechiceros en los siglos XVII y XVIII", París, 1983.
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